Présentation Yuurei

Prénom : Lorent.
Age: 17 ans
Comment avez vous trouvez le forum ? : Via un ami qui est déjà membre du forum.
Etes vous actif ? : Plutôt oui, si le forum me plaît bien.

Nom: Kyôsuke
Prénom: Yuurei (où Yûrei)
Age: 19 ans.

Description mentale:
Yûrei est un jeune homme ambitieux, qui ne manque pas d'air et de volonté de progresser dans la vie. Par ce fait, lorsque je l'ai vu pour la première fois, je fus agréablement étonné. Il n'est pas dépourvu d'une intelligence flagrante, certes, mais il est indéniable que ce garçon à encore beaucoup de choses à apprendre. Je ne pense pas que ça le dérange, car sa volonté d'être un ninja de renommée semble être un rêve déjà écrit, telle est sa destinée, il utilisa ces mots... Je n'ai pas réussi à vraiment comprendre les émotions de cet homme, bien qu'il ne soit pas insensible à la disparition de ses parents, j'ai vu en lui un désir de vouloir caché cette tristesse pour faire ressortir un être confiant et sûr de lui. Il possède énormément de qualitées ! Si je devais les énumérer, je pense qu'un livre n'en arriverait pas encore à bout... Mais je pense que sa plus grande qualitée n'est sans nulle doute cette envie de percer et de se distinguer des autres. S'il n'abuse pas de cela, il ira loin, j'en suis certain... Lors de notre brêve conversation, j'ai trouvé qu'il était gentil et très social, résultat d'une éducation qui est une réussite. Bien qu'il soit agréable, j'ai trouvé qu'il était quelque peu rauque de temps en temps, lorsque nous entrions dans des sujets de conversations un peu plus délicats, telle la mort de ses parents. Aussi, je conçois avec tristesse que c'est une histoire à en déchirer le coeur d'un homme, mais sa capacité à cacher ce passé en lui pour mieux progresser me perturbe, ce n'est peux être pas une solution de se renfermer sur un passé regrettable...

J'apprécie ce garçon, et j'aimerais mieux le connaître. Pourquoi ? Tout simplement car une envie en moi persiste et me donne envie d'en savoir un peu plus sur lui, il laisse un mystère derrière lui après chaque conversation.. Yûrei n'aime pas le contact avec les autres personnes, pourquoi ? Je n'en sais rien, mais Dieu seul sait combien j'ai eu du mal à soutirer quelques informations sur lui lors de notre discution. Il a dit être un homme assez solitaire, qui désire visiter le monde et découvrir de nouveaux endroits... Il est vrai que rester toute sa vie dans une même contrée n'est peu intéressant, la découverte du monde est une quête que tout homme à dans l'esprit... Yûrei porte une haine constante envers les déserteurs, auteurs de la mort de ses parents... Déserteurs, traitres, infidèles à leur pays, tels sont les mots qu'il a utilisé afin de me préciser l'envie meurtrière qui lui traversait l'esprit à chaque fois qu'il entendait le mot Nunekin. Aussi, comme je l'ai dis, définir la personnalité de Yûrei serait trop compliquée, je vais me contenter de ces quelques lignes qui permette une meilleure compréhention de ce jeune homme, ambitieux et téméraire.

Description physique:
Yûrei est un garçon tout à fait normal ! Mais il se distingue tout de même des autres garçons part certains détails de son physique. Il possède un regard fin et perçant, qui suscite l'attention sur ce qu'il dit. De plus, une caractéristique surprenant concernant ses yeux, son oeil droit est d'une couleur bleue marine, tandis que son oeil gauche est d'un vert rappelant celui des forêts. Il n'est pas très grand, mais n'est pas pour autant petit, car sa taille figure dans la moyenne des personnes de son âge. Egalement pour son poids, il est évident que Yûrei entretient son corps afin de ne pas être en surpoids. En observant le corps de Yûrei, on peut constater que ce dernier est fort dessiné et que sa musculature n'est pas minime, le Kyôsuke pense que les capacités en Taïjutsu dépendent de la force physique et musculaire du corps. Aussi, je fu réellement choqué en voyant le tatouage ancestral qui jonche le dos de notre ami, il semble que ce tatouage soit une tradition dans la famille du jeune Yûrei. Lors de la naissance, une fresque represétant un triange avec une épée à l'intérieur est tatouée sur le dos du nourrisson, la douleur est atroce mais c'est un rituel qui doit se faire. Quel est l'intérêt de ce petit rite ? Démontrer que la peur n'est pas présente chez les Kyôsuke et rappeler à chacun des membres de cette famille qui ils sont...

Son style vestimentaire ? Yûrei n'est sûrrement pas une gravure de mode et se mettre en avant et se faire distinguer par rapport à son style n'est pas dans ses idées ! Modeste de nature, il retranscrit sa personnalité à travers des habits simples. Yûrei dénigre ces personnes qui ont l'envie de susciter l'attention à cause de leurs vêtements, quel est l'intérêt d'avoir une attitude comme celle-ci ? Bref, tout cela pour dire que Yûrei ne porte que des habits simples, qui ne le mettent pas forcément en valeur mais qui sont bien plus utiles pour le combat. Il n'est pas inintéressant de discuter des filles... Le charme de ce garçon n'est pas insensible aux yeux de la gente féminine et c'est un fait ! Nombreuses sont les fois où ces dames se présentent à Yûrei de façon très spéciale, afin d'espèrer serrer le coeur du garçon...

Code : Validée par Kami-chan

Village Souhaité: Kumo No Kuni (Si le Kage veut bien de moi évidemment ^^)[/color]

Chroniques de Yûrei

Un cris perçant réveilla le village en pleine nuit, la lune tentait en vain d'éclairer nos terres des esprits de la nuit, je suis né. Yûrei, tel est le nom qu'on m'attribua, car mon père apportait une grande attention à ce prénom. Je n'étais pas un enfant issu de n'importe quelle famille, j'étais un Kyôsuke... Cette famille ancestrale persiste de générations en générations, il s'agit là d'un clan prospère tout à fait respectable. Je suis né dans un petit village, bordant une forêt bientôt déboisée, et une petite falaise généreuse en cours d'eau. Ma mère était sans nulle doute la plus belle femme de tous le village, son doux visage avait le pouvoir de me redonner le sourire et de me mettre en totale confiance, je l'aimais plus que tout au monde. Tandis que mon père, il était un homme courageux, vaillant, et désireux de faire duré le bien être dans notre village si paisible. Nous n'habitions pas un village faisant partie des grandes nations tels que Konoha, Kiri, où encore Suna. Et je trouve cela beaucoup mieux, car nous n'étions en aucun cas confronté aux guerres inutiles qui faisaient rages entre ces villages pour les ressources que notre terre offrait. Je n'étais pas le seul enfant, j'avais une soeur qui était ravissante, son visage rappelait d'innoncence d'un enfant et sa voix était similaire avec celle de ma mère. Lors de ma naissance, un tatouage fut apposé dans mon dos, je me rappellerai toute ma vie de ce cris de douleur qui s'échappa de ma bouche lors de ce moment. La douleur est intense, surtout à cet âge là, mais il s'agit là d'une tradition ancestrable fidèle aux attentes de la famille Kyôsuke. Ce clan fut créer il y a bien longtemps, par des nomades qui voyagaient pour recceuillir des secrets étrangers à leurs connaissance.

De siècles en siècles, les Kyôsuke se sont petit à petit éteint, mais le clan persiste en petit nombre et notre honneur reste intacte. Ma mère me berça et m'apporta tout son amour jusqu'à l'âge de 6 ans, où je fu jugé apte à pouvoir entreprendre un programme d'entrainement visant à faire de moi un véritable shinobi. Le village était petit, mais les quelques unités spécifiques du village faisaient la fierté de celui-ci.. Mon père m'enseigna la maitrise du sabre, qui était pour moi une armée sacrée, qui pouvait être salie si on ne la magnait pas de la bonne façon. J'appréciais fortement la compagnie de mon père lors de ces entrainements, car notre contact se rapprochait et nous devenions de plus en plus complice. Un jour, alors que je m'entrainais contre lui, la lame de son sabre fit siffler le vent et se dirigea vers mon poignet.. Un cris incessant s'échappa de ma bouche, et j'observais mon poignet en sang, ce même sang qui dégoulinait sur le sol...

~ Fils, le secret de la réussite dans un combat, c'est apprendre à dompter sa souffrance pour la transmettre à l'adversaire. Si tu n'y arrives pas, tu seras déstabiliser et tu rencontreras la défaite. Sache qu'on ne rigole pas avec la mort, il s'agit là d'une évidence, on tue où on se fait tuer.. ~

Ces mots avaient résonner dans ma tête pendant plusieurs jours, que voulait-il dire par "Apprendre à dompter la souffrance" ? C'est impossible ! La souffrance est transmise par l'ennemi via une attaque physique, comment pourrais-je dompter cela ? C'est alors que je compris que mon père avait essayer de m'expliquer que le coeur d'un shinobi, c'est son chakra. Si le chakra est maitrisé et dompté, je serai un véritable shinobi. C'était là pour moi un rêve d'enfant de devenir un grand ninja, et je n'étais sûrement pas le seul enfant de cet âge a avoir autant d'ambition dans la tête. Je rêvais de batailles, de combats livrés contre l'ennemi, de puissance et surtout de victoires... Chaque jour, je m'en allais dans la forêt m'entraîner, il s'agissait là d'un endroit paisible, qui me permettait de profiter de la puissance de la nature tout en étant dans un endroit isolé.. Dans quelques jours, je fêtais mes 14 ans, j'étais en âge de participaper au petit tournoi annuel qu'organisait le village pour les jeunes shinobis, une opportunité pour moi de me distinguer des autres !

Le tournoi venait de débuter, il consistait à mettre les shinobis dans des conditions extrêmes, et face à des dangers inevitables. Il était diviser en deux parties, la premiere reposait sur les capacités à s'adapter dans un milieu de vie inconnu. Le milieu, la forêt. Certes, cette forêt peut paraître inoffensive à première vue, mais elle possède un tout autre aspect lorsque la nuit entre en jeu... Je me souviendrai toute ma vie, lorsque le départ à été donné, mes premiers pas dans les ténèbres. Il n'est pas nécessaire de préciser que les conditions étaient extrêmes pour comprendre que j'étais effrayé, mon corps tremblait et ma peau frissonnait sous les vents rapides qui fouettaient mon corps. Selon le règlement de cette épreuve, les participants devaient rejoindre un point précis avec la fin de la matinée le lendemain. Cela paraît facile comme ça, bien au contraire, il avait été préciser que toute rencontre entre des shinobis devait engendrer un combat.. La mort n'était pas permise, on devait se contenter de laisser son adversaire KO. Déjà, alors que j'avancais lentement, pour être sûr de moi, j'entendis des cris d'horreur dans l'air. Les combats avaient déjà débutés, c'était sûr, et je devais redoubler d'attention si je ne voulais pas me faire avoir dans cette noirceur profonde.. Par chance, je ne rencontrai aucun adversaire sur ma route et, facilement, j'eus vite rejoint le point de ralliement le lendemain. Des shinobis avaient été soignés cette nuit, certains s'en sortaient avec quelques écorchures, comme moi. Un jour de repos était donné, afin de soulager les peurs de certains des participants.

Il est vrai qu'un jour de repos n'était pas forcément nécessaire pour un tounoi ne comportant que deux jours, mais pour des jeunes shinobis de 13 ans, c'était autre chose. La seconde étape consistait à combattre directemment les autres shinobis, il s'agissait là d'un système à élimination directe. L'arêne n'avait rien d'une belle arêne, loin de là, on pouvait constater directemment que ce lieu de combat était similaire à la superficie du village, un petit village pour un petit moyen financier. Malgré tout, les habitants et villageois prenaient un réel plaisir à venir assister à ces petits combats, qui pouvaient s'avérer être très intéressant si les deux participants l'étaient aussi. Les combats commencaient, et rapidemment on pu assister à des éliminations directes de certains participants. Ce tournoi avait pour but de démontrer que bien que le village était petit, les forces shinobis y étaient bien présentes et l'éducation des enfants était une renommée. Mon nom se fit entendre dans l'air, mon premier combat officiel, une certaine chaleur parcoura mon corps pour atteindre mon coup et serrer celui-ci.

Mon adversaire n'était pas pour le moins inquiétant, bien au contraire, il était légèrement plus petit que moi et possédait deux petites dagues au niveau de sa ceinture. Je m'avancai et l'observait dans les yeux, afin de lui montrer que je n'avais nullement peur, ni de lui ni de l'issue du combat. Un bruit perçant annonça le début du combat, il s'avança rapidemment vers moi en courant, je vis directemment qu'il allait miser beaucoup sur ses dagues car je vis qu'il en sortait une dans sa course. Il semblait être un combattant taïjutsu, c'était un avantager pour moi... Je lançai deux kunais qui transpercèrent l'air en sa direction, mais ce dernier avait déjà sauter en l'air pour me porter une attaque aérienne. Je recula d'un pas, mais sa lame était bien trop proche de moi pour que je puisse l'éviter. Un flot de sang jaillissa dans l'air et j'observai mon bras avec frayeur, il ne m'avait pas raté décidement...

Je lançai à nouveau un kunai pour le désiquilibrer et lui porta un coup de pied dans la figure. Son nez semblait avoir éclater... Pris par la peur, je ne me contrôlais pas vraiment.. Une poussée d'adrenaline parcoura mon corps et je sentis l'envie de mettre fin à ce combat. Je concentrais mon chakra de toute mes forces et lorsque il fut à ma porte, j'attaquais. Cette attaque consistait à concentrer une infime partie du chakra raiton dans les poings afin d'augmenter la force de frappe de ceux-ci. J'évitai une attaque, et mes deux poings s'enfoncèrent dans son ventre. Il poussa un cris et s'effondra aussitôt, le choc avait été terrible... Par la suite, fier de moi, je pris mon mal en patience avec cette foutue blessure et attendis la suite des combats. Il faut savoir que je suis sortis vainqueur de ce tournoi, et que les deux combats suivant celui que j'ai fait ont tous deux été gagné.. Aucun titre spécial ne m'a été assigné, ce tournoi était juste un petit rassemblement pour les shinobis voulant mettre en oeuvre ce qu'ils savent faire devant le grand public...

La mission était d'une facilité déconcertante, et je m'ennuyais déjà de la paperasserie qui m'attendait au village, concernant les détails de la mission. Escorter une personne classée de haut grade, dû à son appartenance au conseil des sages de son village, était pour moi une mission de bas niveau, rien de bien intéressant. Accompagné de deux shinobis, mon rôle avait été de le ramener dans sa patrie sans qu'il ne rencontre aucun soucis. Et ce fut le cas, aucun problême ne s'était présenté à nous lorsque nous nous mettions en oeuvre. Mis à part ce petit malentendu avec des marchands ambulants, qui semblaient être un peu remonté, mais ces derniers ont vite compris que se taire et ne pas broncher était la meilleure des solutions, et de loin. Nous n'avions nullement tiré profit de cette mission, qui fut relativement facile, lorsque l'on observe avec quelle rapidité celle-ci fut effectuée. Ceci dit, je préférais tout de même cela à un ennuyement certain que je connaissais souvent au village. Nous n'étions maintenant plus très loin du village, et une fine pluie fit son apparition, provoquant le réjouissement de l'unité. Bien que je favorise le soleil à la pluie, un peu de fraicheur ne fait pas de mal, surtout lors d'une marche paraissant incessante. Alors que nous étions dans la lisière de la forêt, une fumée d'une noirceur profonde m'évoqua un sentiment de crainte, cela provenait du village. Un regard vide croisa celui de mes équipiers, et je ne tardai pas à engendrer une course pour rejoindre le village au plus vite.

Alors que nous apercevions les portes, des cris de douleurs retentissaient dans l'air comme ci quelqu'un venait de se faire tué... Nous avons pénétré dans le village, et je me dirigeai directement vers une maison bien précise, celle où j'ai vécu mon enfance. Mon corps devint paralysé par la peur et la tristesse lorsque je trouvai le corps de mon père dans la maison, gisant sur le sol. Il ne bougeai plus, et même dans la mort il semblait être sereint et sûr de lui. Mes yeux commencaient à devenir mouiller, ça ne me ressemblait pas, mais qui pourrais faire une chose aussi cruelle ? Notre village n'est pas en guerre, nous avions prévu un futur prospère, idéal à l'éducation des enfants du village, quelle erreur avait été comise ? Je m'agenouilla à sa chevet et observa son visage avec une profonde tristesse, je m'en voulais.

~ Qui que ce soit, quel que soit son titre, je tuerai et dépouillerai de mes mains l'être qui à fait ça... ~

On m'avait appris qu'il s'agissait d'un groupe de déserteurs, qui désiraient volés les matières premières de notre village. Bien entendu, les villageois ne se sont pas laissés faire et on tenter de riposter, ce qui à couté la vie à certains d'eux, dont mon père. Je suis triste, c'est un fait indéniable, mais d'un autre coté, mon coeur me dit que c'est un moyen de percer et de reussir dans la vie, que maintenant je n'ai plus rien à perdre, que je pouvais tout tenter, et ma première action aller être de décimer chaque déserteurs sur ma route... Ma mère et ma jeune soeur, quant à elle, n'avaient pas hésiter à fuir dans les collines. Meilleure idée, sachant que ni l'une ni l'autre ne connaissait les arts ninjas, en restant elles ne pouvaient que s'adonné à une mort certaine.. Ma mère fut profondément touchée par la disparition de mon père, elle ne parlais plus, ne quittait pas la maison pendant la journée, et poussait des gémissements le soir dans son lit. Ma soeur, elle, ne se rendait pas vraiment compte de ce qui s'était passé, elle menait son petit bout de vie. J'étais désormais en âge de quitter le domicile familial, d'aller plus loin, de viser plus loin ! Alors que j'annonçai la nouvelle à ma mère, elle se contenta de me répondre "Reviens sur tes deux jambes, fils...". Dés lors, âgé de 16 ans, je pris le nécessaire et partit à l'aventure pour obtenir ce que je voulais.

Je n'avais pas vraiment de direction bien particulière, j'avançais sans même savoir où ce petit sentir allait me mener. Je faisais confiance au destion, même si celui de mon père était fort lugubre, j'espèrais.. J'ai errer comme ça dans la nature pendant deux ans, deux années entières où j'ai combattu marchants, bêtes sauvages, voleurs. Je m'étais plus endurçi dans cette jungle qu'est la vie que dans mon ancien vilage, en 16 années... Je m'orientais vers un village, lorsque je me jugeais apte à en rejoindre un. Aucun village ne me vint à l'esprit sauf Kumo, Kumo gakure était le repère des artisans de la Foudre. Une terre sacrée qui ne pouvait que augmenter mes capacités de Shinobis, là-bas était ma place...

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